Nour, marocaine trop fraiche, nouvelle sur Paris

Débarquée de son Rabat natal, Nour, fille marocaine trop fraiche, issue de la bourgeoise locale a été envoyée sur Paris. Pour ses études  en théorie. Papa lui a mis à disposition un grand appartement Avenue Mozart dans le 16è. Mais en sous-mains, la jolie  beurette a loué un petit studio dans le 19è, pas loin des Buttes-Chaumont, plus près de la fête, du Canal, et loin du côté coincé du 16è bourge. Chaudasse, incontrôlable parfois, ce bonbon oriental de 20 ans, fraiche, stylée et tellement bonnasse sait comment choper. Et sa venue en France, contrairement à ce que ses parents croient, ne la mettra pas dans le droit chemin. Fêtarde, habituée de la Favela Chic, des bars du Marais mais aussi des soirées plus bling bling comme la Parisienne ou l’Arc, Nour se débauche.
Certains pensent que c’est pas facile de rencontrer une beurette à Paris, pourtant, des blédardes telles que Nour, y en a pas mal et elles sont ouvertes aux plans cul, aux  aventures chaudes. Rosebud dans le cul, un cul parfait, rond et lisse, à croquer, lécher et spanker.

Une babe arabe exhib, avec un goût pour l’anal

Pour parler un peu plus de cette jolie jeune femme, étudiante à Dauphine, on pourrait dire que c’est une babe arabe un peu rebelle. Très tôt, elle a causé des ennuis à ses parents. En rejetant leur autorité. Les garçons, au Maroc, c’était surtout les jeunes hommes issus du même milieu social qu’elle. Et  c’était compliqué de les chauffer, les allumer, certains étant trop tradi. Mais tous se laissaient prendre par son côté exhibitionniste. Et comme il fallait rester vierge avant le mariage, notre marocaine trop fraiche et trop bonne s’est initié à l’anal avant même toute pénétration vaginale. Un cliché  ? non, une pratique courante.
Mais depuis, notre  beurette a développé des vraies envies de sodomie. En maitrisant ses orgasmes par le cul, elle en est devenue accroc. On le voit d’ailleurs sur les  photos. En effet, il n’est pas  rare que  notre babe arabe se fourre des rosebud plug anal dans les fesses. Histoire de dilater et d’habituer le fion à s’élargir à la demande.

Voilà pourquoi notre beurette, désormais parisienne à 150%, se trouve comme un poisson dans l’eau en France. Chaude, ouverte, curieuse de tout, Nour n’a donc pas  hésité à publier cette série de selfies intimes. De gros seins pas trop débordants, un cul parfait super rond et bien lisse, un tatouage qui rendra fou son papa quand il le verra. Nour s’épanouit enfin, par cette liberté sexuelle, l’absence de surveillance parentale et familiale permanente. Prête  à devenir une vicieuse sans contrainte, ni tabous.

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