Laurence une libertine de Lyon, folle de partouze

Professeur de français dans un lycée de la banlieue lyonnaise, Laurence a une vie privée très secrète. En apparence, on pourrait penser que cette quadragénaire brune sans histoires a une vie rangée et sans histoires. Mais méfiez-vous de l’eau qui dort parce que Laurence cache une seconde identité qui ne manque pas de saveur et de piquant. En effet, cette grande brune est une libertine émérite, une femme perverse à l’imagination débordante. Ca se reflète donc dans sa vie sexuelle qui est loin d’être un long fleuve tranquille. De plus, madame est folle de partouze et a pris la fâcheuse habitude de préférer se faire sauter par deux mecs voire plus. C’est aussi ça le revers du libertinage chez les femmes volages et célibataires telles que Laurence : il leur en faut toujours plus.

Premier triolisme à 23 ans

La première histoire à plusieurs de Laurence s’est déroulée avec deux hommes. A l’époque, cette jeune étudiante en littérature était en couple et devait se marier avec son amour de lycée. Jamais elle n’avait envisagé de vie décadente et délurée, bien au contraire. En fervente catholique, cette lyonnaise un peu coincée s’est retrouvée un soir après avoir révisé à la fac avec deux copains. Alors qu’ils buvaient tous les trois un chocolat chaud chez Laurence, la soirée a dérapé lorsque l’un d’eux a commencé à parler de triolisme. La température a grimpé, notre grande brune un peu gênée au début, s’est laissée prendre au jeu. Les trois amis se sont retrouvés nus et ont décidé d’essayer leur premier triolisme. Elle avait 23 ans et elle a ainsi laissé ses deux amis lui mettre les mains sur ses seins et ses fesses innocentes.

Culpabilité et plaisir à la fois

Après avoir taillé deux pipes à ses potes et s’être faite prendre la chatte sans rechigné, notre coquine a vite compris que sa vie sexuelle en couple ne lui apporterait jamais la satisfaction qu’elle a éprouvé ce soir là. Le triolisme et la liberté de jouir qui en découlait ont laissé penser Laurence que c’est en étant libertine qu’elle serait la plus heureuse et la plus épanouie. Un moment de culpabilité vite estompé par la lucidité d’une vie de plaisir. Laurence a su que c’est cette liberté dans le sexe qui devait prendre le pas sur une vie conformiste et sans saveur.

Une rupture inéluctable mais une vie de débauche qui la comble

Il a fallu de ce simple triolisme pour que Laurence comprenne que c’est cette vie de débauche qui lui convenait. La rupture d’avec son copain a été inéluctable et la nouvelle vie de sexe, de libertinage effréné a amplement comblé cette libertine de Lyon qui ne jure plus que par la partouze. Notre salope française s’étreint et s’ébroue désormais avec tous les salauds les plus vils et les plus pervers. Sucer, se faire embrocher par plusieurs hommes telle une chienne débauchée vaut toutes les unions monogames au vernis conformiste.

De gangbang en partouze débridée, Laurence est de plus en plus gourmande

Notre libertine de Lyon ne semble pas avoir de limites quant au nombre de partenaires qu’elle est capable d’encaisser chaque semaine. Bien qu’elle ait conservé une vie « publique » la plus normale possible, certaines personnes dans son entourage commence à se douter que notre prof a une vie privée un peu débridée et spéciale. Elle oublie parfois de mettre une culotte et cela se remarque dans le lycée où elle enseigne. Il faut dire que Laurence devient de plus en plus gourmande et augmente la cadence de gangbang et de partouze. Autrefois, elle se faisait prendre le cul uniquement le week-end. Désormais, Laurence peut se faire niquer en double pénétration et sucer en 69 à 3h du matin et donner un cours sur Zola ou le Marquis de Sade à 10H30.

Folle de partouze et de jouissances avec de nombreux partenaires, notre libertine quadragénaire française risque un jour de payer cher son mode de vie de perdition et de décadence. Cela dit, elle s’en bat un peu les couilles et estime qu’on a qu’une seule vie. Pourquoi la gâcher à se faire baiser en missionnaire tous les vendredi soir et s’endormir lourdement sans avoir joui. Le gangbang est désormais la norme de sexualité pour notre grande brune. Rien ne vaut une bonne pipe sur un voisin et une bonne partie de jambes en l’air avec les plombiers, plutôt que s’enfermer dans l’ennui d’une relation avec le même homme.

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