Ashley, une brunette trop bonne qui cherche un sugar Daddy

Les frais de scolarité explosent aux USA et les prêts sont juste inabordables. Ashley, une teen de 18 ans, a trouvé la parade pour se financer ses études. Il fallait preuve de vice et du vice et elle en a à revendre. Quelques origines diverses et variées, cherokee, italienne, irlandaise, comme beaucoup d’américains, elle a du sang mêlé.

Sa longue chevelure ondulée et sauvage affirme aussi un caractère  en acier trempé. La jeune brunette  est déterminée à se faire de l’argent et réussir par tous les moyens. Sans parler de prostitution, disons simplement que si elle se trouvait un mec qui financer ses études  et son train de vie ( soirées avec les copines, week-end en Floride, etc .. ). Voilà donc les quelques photos que la petite vicieuse trop bonne a posté sur un site de Sugar Daddy.
Après tout, avec des seins magnifiques comme les siens, une propension à jouer la pute, Ashley n’aura pas de mal à trouver le daron idéal. Celui qui  pourra à la fois raquer mais aussi jouer avec ses formes délicieuses. Parce que non contente de vouloir monnayer ses charmes, notre brunette le fait volontiers vu qu’elle préfère les mecs plus vieux.

Un restau puis rendez-vous cul dans une chambre d’hôtel

Afin que ça fasse le plus vrai possible, la jeune étudiante propose à ses amants quinquagénaires des soirées « maritales ». Oui, il faut que ça ressemble le plus possible à une nuit de couple. Un petit restau chic à 120 dollars par tête puis direction dans une chambre d’hôtel 4 étoiles. Aux USA, le standard ne suit pas forcément les normes européennes. Mais l’essentiel, c’est d’avoir cette petite bitch aux gros seins de ouf, au sourire malicieux et à la cambrure de danseuse nue dans son lit. Elle bouge comme une féline et assure à son sugar daddy un rendez-vous cul qui va l’envoyer sur une autre planète. Sachant que toutes ces galipettes inter-âges n’ont pour but que financer son bachelor en Psychologie, les vieux déboursent volontiers. Mais c’est jamais de l’argent donné de la main à la main. En effet, les tuition fees sont réglés directement par le mécène pervers. Ca vaut le coup d’un petit tour au restau et à l’hôtel une fois par semaine le temps des études. ?

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